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Date de création : 24.01.2011
Dernière mise à jour : 11.04.2011
16 articles


le lion

Publié le 11/04/2011 à 19:34 par guiguieliam Tags : nuit nature mode afrique bande
le lion

Le Lion

 

 

Nom Français : Lion
Nom Anglais : Lion
Nom Latin : Panthera Leo
Classe : Mammifères
Ordre : Carnivores
Famille : Felidés
Taille : 1,72 à 2,50 m
Poids : 150 kg à 260 kg
Longévité : En nature : 9 ans. En captivité : 25 ans

 

Description physique

Le lion d'Afrique est dans la famille des félidés. Il pèse de 150 à 260 kg et mesure de 1,72 à 2,50 m.

Son nom anglais est lion et son nom latin est panthera leo. La queue mesure 60 à 100 cm.

Le lion mâle a un visage large, des oreilles arrondies et un petit cou. Leur crinière est habituellement

de couleur gris argenté et leur corps est jaunâtre. Plus le lion est vieux, plus la crinière est foncée.

Sur leur ventre, c'est de couleur chamois. Leurs dents sont d'environ 5 cm chacune. Ils ont des épaules

puissantes et des griffes rétractiles.

Habitat

Les lions vivent dans le Sud-Ouest de l’Afrique. Ils vivent dans les savanes dégagées, les plaines boisées

et les régions semi désertiques. Les lions grimpent dans les arbres pour se rafraîchire. Pendant le

jour, les lions restent près des mares d’eau et des cubes de sels. La nuit, ces territoire sont utilisés

pour la chasse. Les lion vivent en bande. Normalement, il y a un mâle dominant plus 10 femelles mais

cela pourrait aller jusqu’à 3 mâles plus 15 femelles plus leurs petits.

Reproduction

Les lions s’accouplent environ à chaque 2 ans. Pendant les périodes de chaleur, le mâle et la femelle

copulent à chaque 20 minutes pendant 5 jours. La période de gestation dure de 100 à 120 jours. Les

lions peuvent s’accoupler dès l’âge de 3 ans et les femelles elles, de 3 à 4 ans.

Comportement et mode de vie

Les lions dorment 20 heures par jour. Il chasse la nuit pour passer inaperçu et pour moins se fatiguer à

cause de la chaleur du jour.

Alimentation

Le lion d’Afrique se nourrit particulièrement de gazelles, d’antilopes, de zèbres, de gnous, de buffles et

de girafes mais, il peut aussi manger des pommes ou des fruits qui sont tombés sur le sol. Un lion

consomme environ 5 kilos de viande crue par jour. C'est la lionne qui va à la chasse mais , le lion vient

parfois l'aider.

 

Saviez-vous que.....

Saviez-vous que les lions courent à une vitesse allant jusqu’à 80 Km/h.

Saviez-vous que plusieurs sortes de lions sont disparus comme les lions de l’Équateur et que le lion d’Asie va bientôt disparaître.

Saviez-vous que dans le temps de l’empire romain, des hommes se battaient contre des lions.

Saviez-vous que dans certains pays, les lions sont comme des rois.

 

Et pour plus d'information:http://animaldiversity.ummz.umich.edu/accounts/panthera/p._leo$narrative.html

la cécilie

Publié le 02/04/2011 à 13:21 par guiguieliam
la cécilie

Les apode sont des amphibien pas comme les autre il ont une forme de ver

 

La famille des cécilie

 

La famille des cécilie rassemble 190 espèce terrestre et aquatique.

Leur peau sont généralement remplie d'écaille mais aussi visqueuse.

Reprotuction

Les femelle ponde des oeuf ou les couvent dans les voie génitale, ou il se dévolopent et écloent.

Larve

Lorsque qu'il sont larve il possède deux petit branchie, et si il se retrouve dans un coin sans eau il passe au stade adulte.

Taille

Ils mesure entre 35 a 61 cm.

Habitat

Foret humide est fraiche.

photo de loutre geante

Publié le 26/02/2011 à 12:32 par guiguieliam

la-loutre-grimpe-jusqu-a-4-5-metres_18238_w4601_1.jpgAmerique

Loutre_dEurope1.jpg

le lion d'asie

Publié le 30/01/2011 à 14:26 par guiguieliam Tags : afrique maroc
le lion d'asie

Le territoire du lion d'Asie est en réduction constante. Vivant il y a plusieurs année de l'Inde jusqu'au Maroc, présent en Europe on ne le trouve plus que dans une petite partie de l'Inde.
A la différence d'une lion d'Afrique qui vit dans la savane, le lion d'Asie, vit dans la forêt de Gir. Physiquement le lion d'Asie est plus petit et à une tête moins massive que le lion d'Afrique ainsi qu'une crinière moins épaisse.

Le mâle pèse en moyenne 175 kg, la femelle, plus petite, pèse environ 115 kg.
Capable d'atteindre une vitesse en pointe de 60km/h, lorsqu'il chasse, le lion d'Asie est un très bon chasseur.
Son territoire est délimiter par ses jets d'urine et la portée de son rugissement.
Au niveau social, les lions d'Asie vivent en groupe composé d'un mâle et d'une vingtaine de femelle. Il arrive parfois que le mâle tolère un autre mâle lorsqu'il s'agit d'un de ses frères.
Aujourd'hui il ne reste plus que 300 individus environ lion d'Asie, suite à la destruction de son habitatet à la chasse.
Gravement menacé, le gouvernement indien essaye de sauver l'espèce visiblement touchée par la consanguinité. Aujourd'hui les individus restant souffriraient de difficultés d'adaptation dues à cette consanguinité.

 

le DODO

Publié le 27/01/2011 à 13:09 par guiguieliam Tags : animaux mort animal chiens oiseau
le DODO

Le dodo

 

Le dodo était un oiseau de la taille d'un dindon, pesant 20 kg et d'une longueur d'environ 1 mètre. Court sur ses pattes avec un bec recourbé, un corps peu gracieux et grisâtre de couleur, avec des plumes blanches qui l’ornent, le dodo, scientifiquement connu sous le nom de Raphus Cucullatus, vivait autrefois sur l'île Maurice, dans l'archipel des Mascareignes. Du fait de l'absence de prédateurs, il avait perdu son aptitude au vol. Incroyablement maladroit dans ses mouvements - on lui a d'ailleurs donné ce nom de dodo en raison de sa stupidité - le dodo grattait le sol des forêts à la recherche de fruits, feuilles, baies et graines qui constituaient son alimentation.
Le Portugais Afonso de Albuquerque et ses hommes découvrirent l’île Maurice, et bien sûr le fameux dodo, en 1598. De par l’isolement de l’île et l’absence d’êtres humaines, le dodo accueillit les nouveaux visiteurs avec une naïveté enfantine, mais a été vite dupé par les Portugais . Le dodo était une proie facile et fut exterminé sans pitié. En effet,les marins n'hésitaient pas à tuer le dodo afin d'agrémenter leur alimentation trop monotone, même si la chair était coriace et sans saveur.
Il construisait son nid en pyramide à même le sol, grâce aux feuilles du palmier. Il pondait un seul œuf dans le nid qui était à tour de rôle couvé par les parents car le petit prenait du temps à se développer. La durée de vie, était, au minimum 30 ans. Malheureusement, comme le nid était construit à même le sol, les petits du dodo bénéficiaient de peu de protection contre l’introduction des prédateurs tels que les chiens féroces et les cochons sauvages. L’œuf du dodo était souvent piétiné et mangé par ces animaux.

Ledernier dodo est mort en 1681. La reconstitution de cet animal disparu peut-être admirée au musée d’Histoire Naturelle à Port-Louis grâce à un naturaliste qui en 1865 découvrît un squelette complet du dodo près de Plaisance.

 

Dodo est aussi une marque de bière : à la Réunion, la marque de bière Bourbon a mis un dodo sur ses étiquettes.

le chat

le chat

Du vulgaire chat de gouttière poursuivant une souris à l'aristocratique persan, enrubanné, toisant, du haut de son pedigree, les spectateurs d'une exposition féline, du chat vénéré par les Égy ptiens au chat de Colette, du chat sauvage de nos forêts à celui qui ronronne sous une caresse, le chat offre de multiples facettes.

n. m. Nom par lequel sont désignées plusieurs espèces de petits mammifères carnivores, appartenant à la famille des félidés et au genre Felis, et, notamment, une espèce domestiquée.

L'adaptation des chats à la chasse est liée à leur façon de marcher (seuls les doigts reposent au sol, facilitant la course et les bonds), à leurs griffes rétractiles, précieuses pour la capture des proies, à leurs organes sensoriels d'une extraordinaire sensibilité permettant des perceptions d'une prodigieuse finesse, notamment une vision nocturne, et une ouïe réagissant à des fréquences supérieures à 60 000 cycles par seconde. L'adaptation à une alimentation carnée est traduite par des mâchoires robustes, donnant à la tête un aspect globuleux, et par des dents coupantes et acérées.

Espèces sauvages

Une vingtaine d'espèces de chats vivent à l'état sauvage dans le monde. La plupart ont été chassés pour leur fourrure et sont devenus rares, et difficilement observables. Citons, par exemple, le chat ganté (Felis libyca),qui vit en Afrique, au Moyen-Orient et en Inde, le chat du Bengale (F. bengalensis),en Asie et en Sibérie, dont le pelage ressemble à celui d'une panthère, le chat tigre (F. tigrina),dans les forêts d'Amérique tropicale, et le chat pêcheur (F. viverrina),dans les marécages du sud-est de l'Asie. En Europe, le chat sauvage est de l'espèce F. silvestris.Il ressemble à un gros chat tigré, mais sa queue est relativement plus courte et plus épaisse, et son poil plus long. Il vit dans les régions forestières (en France, dans le quart nord-est et les Pyrénées, surtout). Espèce protégée depuis 1979, il ne semble plus guère menacé. Il ne faut pas le confondre avec un chat haret, chat domestique redevenu sauvage, mais les deux espèces semblent se croiser dans la nature.

Origine duchat domestique

L'accord des spécialistes s'est fait sur l'origine des variétés à poil ras, auxquelles la théorie généralement admise reconnaît pour ancêtre commun Felis libyca,ou chat ganté. Quant à l'origine des chats à poil long, communément qualifiés de persans, elle est en revanche très controversée. On a longtemps cru qu'ils descendaient du chat de Pellas, Felis manul(chat sauvage d'Asie centrale), mais les recherches récentes infirment cette théorie sans réussir pour autant à proposer une solution de rechange. Un fait paraît en tout cas établi avec certitude : le chat domestique ne descend pas des chats sauvages européens. En effet, dans la Rome antique, on s'arrachait, tant ils étaient rares, les chats domestiques à prix d'or ; or il est prouvé qu'à la même époque, les chats sauvages pullulaient dans toutes les forêts de l'ancien continent. La domestication du chat, nettement postérieure à celle des autres espèces animales, ne semble remonter qu'à 4 000 ans av. J.-C. Il n'apparaît en effet dans aucune fouille préhistorique, dans aucune peinture rupestre, et c'est en Égypte, où il a en revanche été présent dès l'origine de la civilisation, que les archéologues ont découvert les premiers témoignages de son existence. Des représentations sur fresques ont en effet été mises au jour ainsi que des momies de chats, des sarcophages de bois ou de bronze contenant des ossements de cet animal, auquel son caractère sacré avait valu ces honneurs funèbres. Ce sont les légions de César qui assurèrent la diffusion du chat en Europe. Initialement objet de luxe, il ne sera appelé à exercer ses talents de destructeur de rongeurs, à des fins utilitaires, qu'au Moyen Âge, et évincera la fouine et la genette, auxquelles jusqu'alors était dévolue cette tâche. Il est aujourd'hui présent dans le monde entier.

 

 

En France, le chat est resté très longtemps associé aux pratiques de sorcellerie et a été suspecté d'incarner des esprits malveillants ou des démons. Des superstitions, où survit le caractère maléfique alors prêté à cet animal, ont encore cours aujourd'hui.

Caractéristiques duchat domestique

Il a été apprivoisé plutôt que domestiqué, et cela pour sa beauté, son élégance et pour son caractère, jugé fascinant par certains (Colette, Montherlant, Malraux, entre beaucoup d'autres en étaient de fervents admirateurs). Il se distingue du chien, autre animal de compagnie, par son souci d'indépendance. Il accepte la cohabitation avec l'homme, mais seulement une cohabitation souple qui lui laisse le loisir de s'évader quand il le désire. S'il est négligé, et surtout maltraité, il s'en va ; en cela encore, il diffère du chien. Il se sent tout à fait capable de se procurer gîte et nourriture quoi qu'il arrive, ignorant en effet que la civilisation et surtout l'urbanisation ont le plus souvent détruit ses ressources potentielles et présentent en outre mille pièges que son atavisme ne l'a pas préparé à déjouer. À l'inverse, s'il est bien traité, entouré d'affection, il rend au centuple les gentillesses qui lui sont prodiguées, mais seulement quand il en a envie. Cet attachement à la liberté et à l'indépendance a pour corollaire une certaine désobéissance au maître, et parfois une tendance au vol, à la dissimulation, à l'infidélité. C'est peut-être d'ailleurs en raison de la complexité et de l'ambiguïté de son caractère que l'intérêt porté au chat diffère selon les contrées : adoré en Birmanie, engraissé et consommé en Mandchourie, supporté, à condition qu'il détruise les rongeurs, bête de luxe exhibée en exposition, traité avec indifférence, ou aimé comme un enfant.

Si, au contact de l'homme, le chat domestique se fait omnivore et accepte volontiers une nourriture diversifiée, proche de celle de son maître, il reste avant tout un carnivore et doit être alimenté essentiellement avec de la viande et des abats, mais aussi avec du poisson maigre, régime qui sera complété par du lait. Mais il convient de varier cet apport protéique ; ainsi, en particulier, ne doit-on pas donner continuellement du foie, sous peine de voir survenir certains troubles osseux très graves.

En ce qui concerne le cycle de reproduction, il faut savoir que la chatte est pubère vers cinq-six mois, et qu'elle manifeste alors ses premières chaleurs. Les cycles sont de durée et de fréquence variables, mais sont en fait presque ininterrompus, si fécondation et gestation n'y viennent mettre un terme. Les préludes à l'accouplement manquent singulièrement de discrétion, les femelles poussant des cris caractéristiques, cependant que les mâles s'affrontent en des luttes implacables et bruyantes. La gestation dure en moyenne deux mois, avec des extrêmes de cinquante-cinq et soixante-cinq jours.

Pour éviter l'inconvénient de portées fréquentes, dont chacune compte de deux à six petits, trois solutions s'offrent : la pilule est le plus souvent sans effet, et elle est parfois nocive ; quant à l'injection de progestagènes (hormones), elle présente l'avantage d'éviter temporairement les désagréments des périodes de rut, mais il convient de lui réserver un emploi occasionnel ; la stérilisation par ovariectomie (ablation des ovaires), enfin, est très bien supportée, mais elle a évidemment l'inconvénient d'être irréversible.

Différentes races

Par le jeu des mutations, une infinie variété de poils, de formes d'oreilles, de couleurs de pelages ou d'yeux sont apparus chez les chats au cours du temps.

Lorsqu'une lignée de chats présente des caractères fixes qui se transmettent de génération en génération, on considère qu'elle constitue une race. Il n'y a pas eu, contrairement à ce qui s'est passé chez les bovidés ou les chevaux, une sélection véritable par l'éleveur. Évidemment, l'homme est intervenu, mais a posteriori, pour établir des standards énumérant les caractéristiques qui définissent une race afin de la conserver. C'est aux Anglais principalement que revient ce mérite. Ce sont eux qui ont organisé, en 1871, la première exposition féline mondiale. Des sociétés félines et des associations diverses se sont dès lors développées partout afin de faire connaître les différentes races de chats qui sont réparties en deux grands groupes : les chats à poil long, ou persans, et les chats à poil court.

Leschats à poil long, ou persans.

Outre la longueur de leur poil, les persans ont pour communes caractéristiques une robe épaisse et soyeuse, une ample collerette formant jabot, de grands yeux ronds et de petites oreilles pointues. On distingue dans ce groupe, en fonction de la couleur :

 

l'angora, à la fourrure blanche ;
le persan écaille de tortue, dont le pelage, tricolore, se partage entre le noir, le roux et le crème ;
le persan chinchilla, dont les poils blancs sont marqués de noir à la pointe ;
le persan colourpoint, qui n'est autre qu'un siamois à poil long ;
le sacré de Birmanie, voisin du précédent, mais dont il diffère par sa fourrure, d'une nuance plus dorée, et par les extrémités des pattes, blanches.

Les Parmi les chats à poil court, on distingue deux types : les chats européens et les chats exotiques.

 

Chats européens : outre les innombrables chats dits " de gouttière ", qui composent la majorité de la population féline, ce groupe inclut : le tabby, rayé et marbré, dont les taches sont noires sur fond brun ou marron sur fond roux ; le chat chartreux, qui peut être gris ardoisé ou brun, mais dont la robe est rigoureusement uniforme ; le chat de l'île de Man, anoure (sans queue), qui se déplace en sautant, à la façon d'un lapin, et pour lequel toutes les couleurs sont admises.
Chats exotiques : ces chats, graciles, sont caractérisés par leurs formes élancées, leur tête triangulaire et leurs yeux en amande. On distingue dans ce groupe : le siamois, très populaire, qui porte une robe claire (il existe cinq coloris de pelage), avec laquelle contrastent des extrémités foncées ; l'abyssin, très menu, à la tête allongée, aux grandes oreilles, et dont le poil brun ou roux est barré d'une triple bande noire ; le havana, ainsi nommé pour sa belle teinte marron uniforme.

Qu'il s'agisse de sujets à poil long ou ras, d'animaux de gouttière ou de luxe, l'élevage du chat nécessite un minimum de connaissances, portant en particulier sur les habitudes alimentaires, la reproduction et la pathologie dominante.

Maladies

Les dominantes pathologiques du chat sont le parasitisme, intestinal (par des vers comme ascaris ou ténia) ou externe (gale provoquée par un acarien et teigne causée par un champignon), et certaines maladies virales, communément regroupées sous le vocable de typhus, qu'il est prudent de prévenir par une vaccination précoce (pouvant être faite à partir de huit semaines), car l'évolution en est souvent mortelle.

Le chat peut également être infecté par le virus de l'immunodéficience féline (FIV), qui provoque le sida du chat mais ne semble pas transmissible à l'homme.

Comme la plupart des animaux, le chat peut contracter la rage et, dans ce cas, devenir un vecteur dangereux de la maladie par morsure ou griffure. Toutefois, le risque n'est à redouter que dans les régions où la rage sévit à l'état endémique et pour les animaux vivant à la campagne. Dans ce cas, la vaccination antirabique précoce et annuellement renouvelée devient indispensable et suffisante. Elle est en outre légalement exigée pour les animaux appelés à participer à des expositions félines et devant passer des frontières.

Enfin, il est impossible d'aborder, même sommairement, la pathologie du chat sans évoquer le problème de la toxoplasmose, maladie transmissible à l'homme par le chat. S'il ne faut pas méconnaître la réalité des risques, il convient toutefois de ne pas les surestimer et de les mesurer à partir de données scientifiques sérieuses. L'agent responsable de la maladie, le toxoplasme, est un protozoaire parasite, dont l'hôte spécifique est le chat et dont la forme sporulée est présente dans le milieu extérieur (souillé par des excréments de chats) ainsi que dans la chair de tous les animaux qui ont pu en ingérer. Compte tenu de la biologie du parasite, la contamination humaine peut se faire par la terre (jardinage), les aliments (consommation de viandes saignantes) ou par une cohabitation étroite avec le chat. La toxoplasmose entraîne chez l'homme une maladie cliniquement muette, et 90 % des individus adultes possèdent dans leur sérum sanguin des anticorps, dont la présence prouve qu'ils ont eu la maladie et se sont immunisés contre elle. En revanche, si une femme enceinte, faisant partie des 10 % d'individus non immunisés, contracte une toxoplasmose cliniquement inapparente pendant sa grossesse, le foetus peut être contaminé ; la toxoplasmose, qui touche en France deux naissances sur mille, est la cause d'enfants mort-nés, ou porteurs de malformations graves des centres nerveux et des yeux. Pratiquement, une femme enceinte possédant un chat peut éliminer tout risque en faisant contrôler par un laboratoire son taux d'anticorps toxoplasmiques ; si ce taux est élevé, elle est immunisée et n'a donc rien à craindre ; s'il est faible ou nul (10 %), elle devra faire effectuer des recherches sur le chat ou, mieux, l'éloigner pendant les cinq premiers mois de grossesse.

le menthe religieuse

Publié le 26/01/2011 à 17:43 par guiguieliam Tags : france nature belle neige oiseau
le menthe religieuse
    La mante religieuse, 2000 espèces dont 12 en Europe



mantis religiosa

ordre: dictyoptère
famille: mantidae

Long insecte pouvant atteindre 6 cm, le mâle est plus petit, de couleur allant du vert fluo au beige clair, possédant un prothorax long et étroit qui forme un " cou " mobile.
Au bout de ce cou, une tête triangulaire caractéristique, particulièrement mobile. Les pattes supérieures sont ravisseuses et fortement épineuses. Les ailes au nombre de quatre, deux ailes cornées rabattues à plat sur le corps et deux membraneuses complètement repliées à l’intérieur, servent surtout à intimider le prédateur, oiseau ou lézard, qu’à voler, bien que le mâle moins lourd que la femelle s’en sert de moyen de locomotion pour chercher compagne de buisson en buissons.
manteintimi.jpg (19862 octets)  méthode d'intimidation  
La mante religieuse vit dans le Midi où elle apprécie la chaleur , bien sûr, mais aussi les clairières, les garrigues, les friches ensoleillées ou les talus...Néanmoins, elle ne dédaigne de monter jusqu’à Paname! Son menu, essentiellement composé de viande, est composée de criquets, papillons, abeilles, mouches, araignées....

Sa méthode de chasse est très impressionnante: à l’affût elle attend qu’un criquet, ou autre, passe à proximité puis elle tourne doucement la tête vers celui-ci, car sa vue est meilleur de face, au besoin elle change lentement de position....
Et là, par un mouvement plus vif que l’éclair, elle déploie ses pattes ravisseuses et capture sa proie. Dans la foulée, elle lui rompt le cou avec ses mandibules (pièces buccales) acérées, le criquet étant fermement maintenu par les épines, et le dévore vivant. Je me demande si le criquet en apercevant la mante ne présageait pas cette fin, car dès qu’il la vue, il est devenu immobile comme pierre, à croire qu’il était transi...où qu’il a vu Jurassic Park et qu’il croyait que la vue de la mante religieuse, tout comme le T-Rex, était basée sur le mouvement. Toujours est-il qu’il n’en reste plus rien sauf les ailes, trop coriaces pour être mangées.

Sa position la plus courante, à la verticale les pattes ravisseuses repliées lui a valu le nom de " religieuse " et dans le Midi " Prega dieu ". Déjà les Grecs la surnommaient " manta ", c’est- à- dire; le devin, le prophète.
La mante religieuse est adulte vers la fin de l’été et à la fin août les accouplements ont lieu .L’appétit féroce de la mante est tel que après ou même pendant l’accouplement, le mâle est dévoré par la femelle que cette dernière, en se retournant avec une extraordinaire souplesse saisit à la nuque...
oothèque.jpg (20091 octets) Sept jours plus tard environ, la mante va déposer un sac à œufs, dit oothèque, sur une surface rugueuse.

De l’extrémité de son abdomen sortent simultanément les œufs, au nombre de 300 à 400 par oothèques, et une substance blanchâtre et mousseuse qui a consistance de blancs d’œufs battus en neige, qui se solidifie dès sa production.


mante faisant son oothèque sur un  morceau de bois

Les œufs sont ainsi emprisonnés et protégés du froid. Mais les prédateurs sont nombreux; avant même la naissance, un parasite s’attaque à l’ oothèque: ce petit insecte, le chalcidien, pond ses propres œufs dans ceux de la mante.

Les adultes, morts pendant l’hiver, ne pourront assister à l’ éclosion qui a lieu par une belle journée du milieu du mois de Juin; les jeunes ressemblent tout d’abord à des vers, puis se transforment très vite en petites mantes, dès la sortie de l’oothèque, qui suivent le même régime alimentaire que l’adulte, seulement; les proies sont plus petites: mouches, moustiques...

Pour parvenir au stade adulte, la mante mue 5 à 6 fois. Les ailes définitives apparaissent à la dernière mue. Mais avant d’atteindre ce stade il a fallu qu’ elles échappent aux voraces fourmis, friandes de jeune éclôt, au lézard gris... Heureusement, tout est prévu; ces pertes seront compensées par la douzaine de oothèques que la mante peut faire au cours de sa vie ( soit de 3600 à 4800 mantes potentielles).

La mante religieuse par ses mœurs voraces, l’ont fait appeler " le tigre de l’herbe ", malgré sont apparence somme toute naïve. Elle n’en n’ait pas moins un des plus beaux insectes de France, voire du monde car les espèces exotiques sont très richement et vivement colorées.
Récolte et conservation On se procurera des mantes en examinant soigneusement la prairie, ou bien en fauchant dans cette dernière. Elles vivent facilement en captivité dans la mesure où on leurs procure des proies vivantes en conséquence. Il importe donc de faire un élevage de criquets et/ ou de mouches en parallèle.
La conservation se fait à sec; les piquer dans le méso- ou le métathorax; c’ est encore plus joli avec les ailes étalées d’un côté.
Je déconseille fortement de sacrifier un insecte dans ce but, partant du principe que tant qu’il n’a pas succombé à son destin, il n’a pas accompli sa tâche dans la Nature. On trouve de très beaux spécimens morts aux bords des routes ou lors de balades champêtres.

hirondelle

Publié le 26/01/2011 à 17:41 par guiguieliam Tags : afrique photo coeur voyage dieu actualité
hirondelle

L'hirondelle

L'hirondelle

Hirondelles rustique, de fenêtre et de rivage
Hirondelles de rivage, de fenêtre et rustique © Christian Kerihuel
Rustique !
Vous avez dit rustique ?


     Moi qui suis capable de faire plus de 10000 Km avec pour seul carburant quelques grammes de graisses.
     Avec mon profil aérodynamique, je pense plutôt être à la pointe de la technologie !
     Mais, je ne vous en veux pas de m'appeler ainsi car vous savez m'accueillir chaleureusement lorsqu'à mon retour d'Afrique, vous m'ouvrez granges, étables et garages. Ne craignez pas de prendre froid, le printemps m'accompagne !
     Mon secret : pendant mon retour, je reste branchée sur " météo hirundo ", car c'est seulement s'il fait plus de 10° que je trouverais quelque insecte à manger, et dieu que ce voyage donne de l'appétit !
     Bon assez gazouillé, le moment est venu de bâtir un nid. Et si vous me conservez quelques belles zones de chasse où bétail, bocage et marais ont encore une signification, je vous promets de revenir très longtemps !


© P. Van Dorsselaer

Almanach Hirundo :     Mercredi 26 Janvier 2011

Toute l'actualité de notre amie rustica. La photo du mois, les coups de coeur du web, vos anecdotes, le calendrier des manifestations, interview, .... en savoir plus

L'Ocelot

Publié le 26/01/2011 à 17:37 par guiguieliam Tags : photos homme animal gif fond nuit
 L'Ocelot

Retour Amérique

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 Banner Text Caractéristiques générales :

 

Classe

Mammifères

Ordre

Carnivores

Famille

Félidés

Genre

Leopardus

Espèce

Leopardus pardalis

Taille

En moyenne, entre 60 et 100 cm de longueur pour une queue oscillant entre 30 et 40 cm.

Poids

10 kg en moyenne pour les mâles, un peu moins pour les femelles.

Maturité sexuelle

Un peu plus de 2 ans pour les mâles contre une moyenne de 20 mois pour les femelles.

Longévité

Jusqu'à 10 à l'état sauvage, 20 ans en captivité

 

Banner Text Répartition géographique actuelle et habitat:

 

 

L'Ocelot peut vivre dans de nombreux habitats différents, surtout si ceux-ci ont un couvert végétal important.

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Banner Text Description physique:

L'Ocelot a le corps parsemé de tâches longues emplies de fauve soutenu et bordées de noir. C'est d'ailleurs de ces tâches que provient son nom : en latin ocellatus, peut signifier "en forme d'oeil".
La couleur de fond de leur fourrure est plus claire, dans les tons ocres.

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Banner Text Territorialité :

Comme la majorité des félins, le mâle Ocelot a un territoire qui englobe celui de plusieurs femelles : 10 kilomètres carrés en moyenne pour un mâle et 5 kilomètres en moyenne pour une femelle.

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Banner Text Comportement social et reproduction:

Comme tous les félins, hormis les lions, l'Ocelot est un animal solitaire, sauf en période de reproduction. La durée de gestation de la femelle dure entre deux et trois mois et une mise bas peut intervenir à n'importe quelle saison. Les portées sont généralement de deux jeunes.

Banner Text Comportement de chasse et alimentation:

L'Ocelot chasse dès le début de la nuit, de la même manière que de nombreux petits félins. Il préfère les petites proies, adaptées à sa taille, comme des rats, des oiseaux et quelques petits reptiles.

Banner Text Statut actuel et mesures de conservation:

- Statut : L'UICN classe depuis 2002 l'Ocelot dans la catégorie "Least concerned", c'est-à-dire que dans un avenir proche, l'espèce ne semble pas menacée et n'est pas une préoccupation majeure de protection.

Cependant, il est menacé principalement par la perte de son habitat généralement due à l'homme ainsi que par la diminution du nombre de ses proies due à la chasse.
Il est à noter d'ailleurs que la population présente une baisse d'affectifs, même sans avoir à faire face à une grane menace.

- L'Ocelot est également classé en Annexe I de l CITES, ce qui réglemente sa protection sur toute son aire de répartition. La chasse est ainsi interdite dans la majorité des pays où l'espèce réside et elle est seulement régulée au Pérou.

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triton a crete

Publié le 26/01/2011 à 17:32 par guiguieliam Tags : france art livre
triton a crete

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TRITON CRETE

Triturus cristatus (Laurenti, 1768)AmphibiensUrodèlesPROTECTION NATIONALE

 

:

OUI

(Arrêté du 22 juillet 1993, Art. 1)ESPECE CLASSEE

 

«VULNERABLE»

DANS LE LIVRE ROUGE FRANÇAIS DIRECTIVE HABITAT

 

:

ANNEXES II ET IV CONVENTION DE BERNE

 

:

ANNEXE II REPRODUCTEUR

Espèce à enjeu de Conservation :   Groupe II DISTRIBUTION ET POPULATION????

 

Le Triton crêté occupe une vaste aire de répartition couvrant l’Europe continentale à l’exception de la péninsule Ibérique, du sud de la France, des îles méditerranéennes, de l’Irlande et de la zone des forêts

boréales. L’espèce est en régression en Europe depuis les années 50 et en France également.

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En France, le Triton crêté se rencontre au nord de la ligne La Rochelle - Grenoble.

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En Franche-Comté, il est présent en Bresse, dans la Petite Montagne (très rare), la région de Champagnole, le Massif de la Serre, les plateaux de Haute-Saône jusqu’aux confins du massif des Vosges, dans la Trouée de

Belfort et dans le Sundgau, dans les Avants-Monts et sur les premiers et seconds plateaux du massifs du

Jura, et dans la dépression du Haut-Jura. Il manque sur la Haute-Chaîne du Jura et dans les Hautes-Vosges.

HABITAT????

 

Présent de la plaine à la montagne jusqu’à une altitude de 1 100 m.

????

 

L’habitat terrestre est composé de petits sites dans des zones de pâturage et marécages, de boisements, de haies et lisières, de fourrés à quelques mètres d’un site de reproduction. Lorsqu’il quitte l’eau et avant

d’hiberner, il vit sous des pierres, des racines ou des troncs couchés.

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Les sites de reproduction sont caractérisés par des eaux claires stagnantes : mares (proches les unes des autres), étangs forestiers ou périforestiers, points d’eau d’anciennes gravières ou marnières, marais, bras

morts, « mortes » ou fossés en limite de zones inondables. En général, ces sites sont bien ensoleillés, riches en

végétation aquatique, peu profonds avec des eaux relativement chaudes et dépourvues de poissons.

MENACES????

 

Dégradation et disparition des habitats aquatiques par abandon de l’entretien des mares (déprise agricole) ;

????

 

Disparition des habitats terrestres de l’espèce par arrachage des haies et destruction des bosquets à proximité des points d’eau ;

????

 

Curage des fossés et des mares, eutrophisation et pollution des eaux, introduction de poissons carnivores dans les mares sont les principales menaces pour les oeufs et les larves ;

????

 

Ramassage par les collectionneurs ou grand public.

PROPOSITIONS DE GESTION????

 

Multiplier les points d’eau nécessaires à la reproduction, veiller à la qualité de l’eau ;

????

 

Préserver et entretenir les mares existantes ;

????

 

Rétablir un réseau de mares suffisamment denses (optimum de 4 à 8 mares au km²) et interconnectées ;

????

 

Entretenir les formations arborées (haies, boisements, fourrés) situés à proximité des mares (quelques dizaines à centaines de mètres de distance) ;

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Conserver des arbres morts et des pierres à proximité des mares ;

????

 

Privilégier une agriculture extensive et éviter les monocultures afin de rétablir les échanges entre populations.

CONCLUSIONEn Franche-Comté, la forte pression d’observation mise en regard de la faible densité des stations d’observation lui confère le statut d’espèce assez rare. De plus, la régression des mares due au développement des cultures, à l’adduction d’eau dans les prairies et aux pollutions font du Triton crêté une espèce très menacée.